Vous êtes sur le point de quitter le site https://www.journees-macula.fr/
et allez être redirigé(e) vers un site externe.
Cliquer sur Continuer ou sur Annuler pour revenir à la page précédente.
Réponse : faux !
Aucune étude n’a permis d’établir que ce type d’activités intensives pourrait être en cause dans l’apparition ou l’aggravation de la DMLA. De même, contrairement à certaines idées reçues, la DMLA n’est pas liée à une exposition répétée à la lumière ou à la prise de certains médicaments.
Réponse : vrai.
La gravité et l’évolution de la maladie varient d’une personne à l’autre et d’un œil à l’autre chez un même patient.
Réponse : faux.
Sauf complication rare, la vision périphérique, ou champ visuel, reste normale : la DMLA n’entraîne pas de cécité totale. Les personnes atteintes peuvent donc conserver une certaine autonomie dans leur vie quotidienne (déplacements, repas, habillage…).
Réponse : faux.
Dans la plupart des cas, la DMLA évolue plusieurs années sans aucun signe d’alerte. Puis, elle peut se manifester par d’autres symptômes que cette tache centrale noire (flou visuel, ternissement des couleurs, lignes droites déformées…). Enfin, ces symptômes sont parfois trompeurs et peuvent être liés à une autre pathologie que la DMLA.
Réponse : faux.
La grille d’Amsler permet seulement de détecter des symptômes. En outre, elle peut être normale malgré une DMLA et peut aussi révéler une autre pathologie que la DMLA. L’examen du fond d’œil pratiqué par un ophtalmologiste est donc la seule méthode de dépistage fiable de la DMLA.
Réponse : vrai.
Le tabagisme est un facteur de risque majeur. Chez les grands fumeurs, le risque de MLA et de DMLA est multiplié par 3 à 6.
Réponse : vrai.
Les acides gras essentiels de la famille des oméga-3 jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement des photorécepteurs (cellules visuelles) de la rétine. Des études ont notamment mis en évidence le fait qu’une supplémentation en oméga-3 pourrait réduire de moitié le risque de DMLA exsudative. Les oméga-3 se trouvent notamment dans des aliments comme les poissons gras (saumon, hareng, maquereau, sardine), les fruits secs (noix, noisettes, amandes), le colza, le soja…
Réponse : vrai.
En matière de DMLA, il est important de ne pas perdre de temps ! Moins d’une semaine doit ainsi s’écouler entre le début des symptômes et la consultation d’ophtalmologie. Par ailleurs, le traitement d’une DMLA exsudative doit débuter moins de dix jours après le diagnostic.
Réponse : faux.
La DMLA est une maladie qui ne peut en aucun cas être compensée par une correction optique de type lunettes ou lentilles de contact.
Réponse : faux.
Tout au plus est-il possible d’en ralentir l’évolution, dans certains cas.
Réponse : faux.
La maculopathie diabétique peut apparaître silencieusement sans aucun signe d’alerte. Les symptômes se développent généralement avec le temps.
Réponse : vrai.
L’œdème maculaire est toutefois plus fréquent chez les patients traités par insuline (15%) que chez les patients traités par hypoglycémiants oraux (4%).
Réponse : vrai.
La grossesse augmente le risque de développer une maculopathie diabétique chez les femmes diabétiques. C’est pourquoi ces dernières devraient subir un bilan ophtalmologique complet avant la conception et pendant le premier trimestre de grossesse.
Réponse : vrai et faux
La forme ischémique de la maladie est malheureusement incurable et peut entraîner de graves dommages au plan visuel. En revanche, le dépistage précoce est fondamental pour traiter efficacement la maculopathie œdémateuse. Associé à un traitement approprié, il permet ainsi de prévenir ou ralentir la perte de vision, voire d’améliorer la vision. C’est pourquoi, tous les patients diabétiques doivent impérativement faire contrôler leur macula chaque année, à partir de l’âge de 10 ans.
Réponse : faux.
Si la présence d’une rétinopathie diabétique augmente significativement le risque de développer une maculopathie diabétique, cette dernière peut aussi apparaître de façon autonome sans être associée à une autre pathologie oculaire.
Réponse : faux.
Le diabète augmente le risque de développer d’autres pathologies des yeux comme certains glaucomes ou la cataracte.
Vrai et faux : ce n’est pas tant l’âge qui est responsable de cette usure que les pathologies oculaires qui ont plus de probabilités de survenir lorsqu’on vieillit : cataracte, DMLA, etc.
Faux : la couleur ne joue absolument aucun rôle dans la santé oculaire et contrairement aux idées reçues, les yeux clairs ne sont pas plus fragiles que les yeux marron ou noirs !
Faux : les yeux ont même besoin d’entraînement pour être performants, comme la mémoire. N’ayez donc aucune crainte. Vous ne risquez pas d’épuiser votre capital visuel en vous servant de vos yeux !
Faux : il est indispensable de continuer à faire contrôler régulièrement sa vision même si l’on souffre d’une forte baisse d’acuité visuelle. Ce dernier pourra en effet recommander au patient des traitements adaptés à sa pathologie oculaire ou l’orienter vers des spécialistes qui pourront l’aider à exploiter au mieux sa vision résiduelle.
Faux : il n’est jamais trop tard pour consulter un orthoptiste et rééduquer ses yeux par des exercices adaptés.
Faux : les occlusions veineuses rétiniennes n’ont aucun lien avec les phlébites des membres inférieurs et les personnes atteintes de phlébites ne sont pas plus exposées que le reste de la population au risque d’occlusion veineuse rétinienne.
Faux : si les patients atteints peuvent ressentir des symptômes pouvant aller d’un voile léger à une baisse significative d’acuité visuelle, il est tout à fait possible de développer la maladie sans ressentir aucun signe. D’où la nécessité de faire contrôler sa vision régulièrement chez un ophtalmologiste, notamment si l’on a plus de 55 ans et si l’on souffre de glaucome ou d’hypertension artérielle.
Faux : l’occlusion veineuse rétinienne peut se développer sous deux formes :
Vrai et Faux : La maculopathie myopique peut être responsable d’une baisse visuelle très sévère. Néanmoins, il est exceptionnel que cette dernière engendre une cécité totale, puisque la zone rétinienne malade ne concerne que la partie centrale rétinienne, soit moins de 2 % de sa surface.
Vrai : Un contrôle régulier tous les ans à tous les deux ans peut être proposé, avec un contrôle maculaire.
Vous êtes sur le point de quitter le site https://www.journees-macula.fr/
et allez être redirigé(e) vers un site externe.
Cliquer sur Continuer ou sur Annuler pour revenir à la page précédente.
Vous êtes sur le point de quitter le site https://www.journees-macula.fr/
et allez être redirigé(e) vers un site externe.
Cliquer sur Continuer ou sur Annuler pour revenir à la page précédente.